Adapter son alimentation à ses besoins, éviter les produits transformés et trop sucrés, et respecter les cycles des végétaux : voici la base d’une “alimentation positive”, terme inspiré par les bâtiments à énergie positive qui produisent plus qu’ils ne consomment. On fait le point avec Maëlle Feret, l’auteure de « Je mange sain en famille » (Ed. Eyrolles, 2016).
A chaque individu correspond un régime alimentaire
Maëlle Feret : « L’alimentation positive, c’est l’idée de construire une alimentation qui nous convient. Nous n’avons pas forcément les mêmes besoins que notre voisin. Il faut donc apprendre à adapter son assiette à son corps, afin de lui apporter ce dont il a besoin. Il y a deux pistes pour bien manger : arrêter de manger des produits transformés, et diminuer sa consommation de sucre. Comme pour les adultes, chaque enfant a des besoins spécifiques pour lesquels il faut adapter son alimentation.»
Pourquoi s’y mettre en famille ?
Pour la santé de chaque membre de la famille d’abord: l’alimentation positive tend à être le plus possible d’origine biologique. Elle se base beaucoup sur les végétaux, et permet d’avoir une alimentation plus saine. D’un point de vue écologique, c’est aussi une alimentation plus responsable: elle respecte les saisons et privilégie les aliments locaux. Enfin, elle permet de savoir précisément ce que l’on met dans l’assiette de nos enfants, car elle évite au maximum les produits transformés.
Les bases de l’alimentation positive
Maëlle Feret : « Préférez les fruits et légumes de saison, issus d’agriculture de proximité. Évitez les produits tout prêts et transformés. L’alimentation positive, ce n’est pas seulement bien manger, c’est aussi manger tout en respectant l’environnement. »
Qu'en pensez-vous ? Dites-le nous en commentaire !
 |
Je mange sain en famille - 11,90 € |
