Bon, ok, il n’y a pas de raison d’être particulièrement fier de ses poux, mais de là à en avoir honte…Et pourtant une enquête* OpinionWay réalisée en cette rentrée 2017 pour le groupe Merck, révèle que parents et enfants sont très mal à l’aise quand ils ont à faire à une infestation de poux. Raisonnez-vous, parlez avec vos enfants (les longues séances de peigne fin y sont propice) et surtout dédramatisez. On vous aide !
4 raisons de dédramatiser face à une infestation de poux
1/ Vous n’êtes pas les premiers !
63% des mères interrogées déclarent avoir déjà eu le bonheur tout relatif de trouver des poux ou des lentes sur un membre de la famille. La quasi-totalité des enseignants a déjà fait face à une infestation de poux au moins une fois dans sa carrière et 92% d’entre eux ont été confrontés à ce sujet au cours des 12 derniers mois.
2/ Tout le monde peut attraper des poux
On pense encore trop souvent que le manque d’hygiène est responsable de l’infestation par les poux, c’est complètement faux ! Rappelez-le à vos enfants, ça n’a rien à voir. Pour attraper des poux, il suffit de côtoyer des gens qui en ont attrapés. D’ailleurs un enseignant sur trois a attrapé́ des poux sur son lieu de travail…Pas drôle !
3/ Personne n’aime en parler et pourtant…
En effet pour 50% des mamans et enseignants, les poux restent un sujet tabou. Seule 1 maman sur 2 se confie à un membre de sa famille ou à l’instituteur. Pourtant il n’y a pas de raison de se cacher et en parler c’est un moyen de limiter la propagation des petites bêtes.
4/ Il n’y a pas de raison d’être stigmatisé
L’enquête* OpinionWay révèle que pour près de la moitié des mères de famille et un tiers des enseignants, la présence des poux a un impact social et scolaire chez l’enfant . 45% des enseignants soulignent les difficultés qu’ont les enfants infestés par les poux à jouer avec les autres et 38% témoignent du refus des autres enfants de s’assoir à leurs côtés en classe. Beaucoup de mamans estiment, quant à elles, que les poux empêchent leur enfant d’aller dormir chez un copain. Une tignasse traitée, des cheveux nattés et surtout une bonne prise de conscience que (relisez le point numéro 2) tout le monde peut être touché devrait améliorer la situation. Pensez à répéter à vos enfants qu’ils n’y sont pour rien et que c’est le risque de la vie en collectivité.
*Etude réalisée en mars et avril 2017 auprès de 500 mamans d’enfants âgés de 3 à 15 ans et de 195 enseignants d’écoles maternelles et élémentaires.
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