
Et si cette année votre enfant commençait l’escrime ? L’escrime permet de développer la motricité, la coordination mais aussi le respect des autres et des règles. Deux maîtres d’armes, Hendrix Maturell Andino et David Robinet, nous expliquent tous les bienfaits de la pratique de ce sport.
Atout n°1 : L’escrime développe la motricité et l’orientation dans l’espace
L’avis du maître d’armes Hendrix Maturell Andino (Scuf escrime) : “Dans notre club, l'enfant peut commencer l’escrime à 4 ans. Cela développe sa capacité à s’orienter dans l’espace, sa concentration et sa motricité. On organise des exercices avec des balles de tennis, des fleurets en plastique… Et puis, l'enfant est souvent content de porter une jolie combinaison noire avec des petits écussons de différentes couleurs, pour pouvoir fixer les points et les toucher avec son fleuret.”
Atout n°2 : L’escrime développe le travail en équipe
Hendrix Maturell Andino : “Lorsque l'enfant se prépare pour les combats, il doit aider ses camarades à porter le matériel ou à fermer leur veste qui se zippe par derrière par exemple : cela développe le travail d’équipe.”
Atout n°3 : Quand on fait de l’escrime, il faut suivre des règles
Hendrix Maturell Andino : “Il y a des règles à respecter dans une salle d’armes. Des règles de base, comme être poli, avoir l’esprit sportif, respecter l’autre, être persévérant… Et puis, le salut est obligatoire, avant et après l’assaut. A la fin du match, il faut aussi serrer la main et remercier la personne, quoiqu’il arrive, que l'on gagne ou que l'on perde !”
Atout n°4 : La coordination
David Robinet, maître d'armes (Antony Sports Escrime) : “Ce sport développe la coordination. Pourquoi ? Parce qu'on doit utiliser ses quatres membres indépendamment les uns des autres, coordonner un bras et une jambe etc. Et l’escrime développe aussi la précision des gestes, et ce qu’on appelle la motricité fine. L’escrime va rendre l'enfant aussi habile qu'un chat !
Atout n°5 : L'escrime, un sport tactique
David Robinet : “On travaille sur la vitesse, sur les temps de réaction et d'exécution. Et puis, il y a des moments pour attaquer, pour se défendre… C’est très tactique. L'enfant peut amener l’adversaire à attaquer, ainsi il joue pour obtenir des réactions de son adversaire. L’escrime apprend à réflechir. ”
Atout n°6 : L’escrime développe la maîtrise de soi
David Robinet : “Ce sport pousse aussi à être maître de soi-même. Lorsqu’on est dans un combat, il faut être rapide dans l’exécution, comme un félin qui se rapproche doucement de sa proie et l’attaque à la dernière minute. Et puis il y a un arbitre qui va apprécier le match : l'enfant va alors apprendre à accepter ses erreurs, à ne pas se décourager, continuer quoi qu’il arrive… Parfois on laisse des groupes d’enfants en match libre, et ils doivent se débrouiller. L’un fait l'arbitre, aidé par un observateur. Bien sûr, si l'enfant est désigné “arbitre”, il pourra faire des erreurs d’appréciation du match mais ce n’est pas grave, c’est l’occasion de comprendre et de réfléchir aux règles de ce sport !”
Atout n°1 : L’escrime développe la motricité et l’orientation dans l’espace
L’avis du maître d’armes Hendrix Maturell Andino (Scuf escrime) : “Dans notre club, l'enfant peut commencer l’escrime à 4 ans. Cela développe sa capacité à s’orienter dans l’espace, sa concentration et sa motricité. On organise des exercices avec des balles de tennis, des fleurets en plastique… Et puis, l'enfant est souvent content de porter une jolie combinaison noire avec des petits écussons de différentes couleurs, pour pouvoir fixer les points et les toucher avec son fleuret.”
Atout n°2 : L’escrime développe le travail en équipe
Hendrix Maturell Andino : “Lorsque l'enfant se prépare pour les combats, il doit aider ses camarades à porter le matériel ou à fermer leur veste qui se zippe par derrière par exemple : cela développe le travail d’équipe.”
Atout n°3 : Quand on fait de l’escrime, il faut suivre des règles
Hendrix Maturell Andino : “Il y a des règles à respecter dans une salle d’armes. Des règles de base, comme être poli, avoir l’esprit sportif, respecter l’autre, être persévérant… Et puis, le salut est obligatoire, avant et après l’assaut. A la fin du match, il faut aussi serrer la main et remercier la personne, quoiqu’il arrive, que l'on gagne ou que l'on perde !”
Atout n°4 : La coordination
David Robinet, maître d'armes (Antony Sports Escrime) : “Ce sport développe la coordination. Pourquoi ? Parce qu'on doit utiliser ses quatres membres indépendamment les uns des autres, coordonner un bras et une jambe etc. Et l’escrime développe aussi la précision des gestes, et ce qu’on appelle la motricité fine. L’escrime va rendre l'enfant aussi habile qu'un chat !
Atout n°5 : L'escrime, un sport tactique
David Robinet : “On travaille sur la vitesse, sur les temps de réaction et d'exécution. Et puis, il y a des moments pour attaquer, pour se défendre… C’est très tactique. L'enfant peut amener l’adversaire à attaquer, ainsi il joue pour obtenir des réactions de son adversaire. L’escrime apprend à réflechir. ”
Atout n°6 : L’escrime développe la maîtrise de soi
David Robinet : “Ce sport pousse aussi à être maître de soi-même. Lorsqu’on est dans un combat, il faut être rapide dans l’exécution, comme un félin qui se rapproche doucement de sa proie et l’attaque à la dernière minute. Et puis il y a un arbitre qui va apprécier le match : l'enfant va alors apprendre à accepter ses erreurs, à ne pas se décourager, continuer quoi qu’il arrive… Parfois on laisse des groupes d’enfants en match libre, et ils doivent se débrouiller. L’un fait l'arbitre, aidé par un observateur. Bien sûr, si l'enfant est désigné “arbitre”, il pourra faire des erreurs d’appréciation du match mais ce n’est pas grave, c’est l’occasion de comprendre et de réfléchir aux règles de ce sport !”